Chers amis, quelle année!
Grâce à l’appui de la dynamique équipe du Bureau de conférenciers Orizon, j’ai eu la chance de me frotter de nouveau à l’accueil légendaire des Québécois de toutes les régions et de tous les horizons.
J’avais eu la chance de ratisser le Québec avec le groupe Rock et Belles Oreilles, puis ensuite à titre d’animateur. Je refais maintenant le grand tour en tant que conférencier avec « Les Dix Commandements de Bruno ».
Bien qu’il existe des différences importantes entre le métier d’humoriste et celui de conférencier, ce sont les similitudes entre les deux fonctions qui m’ont davantage frappé. En effet, dans les deux cas, le plus important est d’établir une connexion avec son auditoire.
En tant qu’humoriste, on doit d’abord faire rire en espérant que les gens retiennent un message, alors qu’en tant que conférencier, on doit s’assurer que le message passe, et tant mieux si les gens rient en plus.
L’humour devient une arme très efficace pour éclairer un propos. L’interaction aussi. Je me suis assuré de non seulement avoir un message clair à diffuser, mais de le faire passer en impliquant les gens. On se prépare minutieusement en amont en allant chercher le maximum d’informations auprès des organisateurs, en plus d’anecdotes et d’exemples spécifiques au groupe, qu’on intègre à plusieurs moments de la conférence. Ça demande plus de préparation, mais l’impact en vaut largement la chandelle.
Oui, je me considère comme un « petit nouveau » dans le monde des conférenciers, mais cela m’a donné l’occasion d’aller à la rencontre de groupes inspirants pour leur livrer un message rassembleur. Et si je me fie à la réponse qu’on a eu à date, je devrais continuer d’aller diffuser ce message encore longtemps aux quatre coins du Québec et partout ailleurs, puisque comme Buzz Lightyear, je vise l’infini et plus loin encore !
- Bruno Landry